• Extrait de Vacances à Haut risqueVacances à haut risque fait partie de l'anthologie "Vampires, Démons et Métamorophes :Une anthologie de romance paranormale" publiée aux éditions Laska. 

    En voici un extrait:

    Calée au fond du siège, elle s’enveloppa dans la cape et n’eut pas d’autre choix que d’attendre sans rien faire et, surtout, sans s’endormir. Elle contemplait le ciel étoilé, lorsque deux espèces de faisceaux scintillèrent au loin. Madison se redressa pour scruter l’horizon.

    « Des phares ! Je suis sauvée. »

    Ou morte, pensa-t-elle aussitôt.

    Les battements de son cœur accélèrent. Madison bloqua sa respiration, comme si ce réflexe face à la peur pouvait la rendre invisible. Instinctivement, elle se baissa, laissant ses fesses glisser du siège au sol. Elle n’osait plus bouger, et encore moins regarder à l’extérieur. Capuche sur la tête, elle se recroquevilla le plus possible et ignora la pédale de l’accélérateur qui lui meurtrissait la chair.

    « Hé, oh ! Tout va bien, là-dedans ? »

    L’homme tapa à la vitre plusieurs fois et appela encore. Terrorisée, Madison resta pétrifiée.

    « Heu, je vous vois, vous savez. Et puis votre tenue de camouflage n’est pas vraiment discrète.

    — Fichez le camp. Tout va bien, merci. Je n’ai pas d’argent. Et puis mon copain va arriver ; il est très grand et super baraqué.

    — Oh ! On se calme, je veux juste vous aider. S’arrêter au bord de la route en pleine nuit quand on est une femme seule, ce n’est pas très malin. Et le coup du petit copain, ça marche moyen. Vous pensez vraiment que ça m’empêcherait de vous sauter dessus si tel était mon but ? Vous auriez au moins pu verrouiller de l’intérieur », ajouta-t-il en ouvrant la portière.

    Madison sursauta et se cogna la tête contre le volant. Ses yeux se posèrent sur la silhouette masculine. D’abord sur le jeans recouvrant les mollets, puis sur les cuisses musclées, sur son entrejambe, tellement moulé qu’elle pouvait apercevoir sans aucune difficulté la forme de… oh, mon Dieu ! Non, pas là. Les joues en feu, elle dirigea son regard sur le torse puis sur le visage souriant de l’homme. Et quel sourire ! Viril, sensuel, carnassier. Son cœur s’emballa de nouveau et, cette fois, ce n’était pas à cause de la peur. Avec ce physique de rêve, elle était prête à tout accepter. Enfin, presque tout, à condition qu’il utilise la douceur comme arme. Quoiqu’avec une touche de bestialité…

    Non, mais ça va pas ! se morigéna-t-elle. À cette vitesse, c’est elle qui, bientôt, le supplierait pour qu’il lui arrache ses vêtements. La bouche ouverte, incapable d’articuler le moindre mot, Madison se contenta de rester immobile, le regard plongé dans celui du brun ténébreux. Elle se sentit fondre comme glace au soleil. Il devait avoir vingt-sept ou vingt-huit ans. Sa carrure était athlétique, ses épaules larges, ses cheveux coupés court, et ses yeux… Tiens, curieux, cette couleur. Elle n’avait jamais rien vu de pareil. Ils étaient sombres, mais avec un éclat particulier qui leur donnait une apparence dangereuse. Obscurs, froids, calculateurs et en même temps resplendissants, envoûtants. Du jaune ? De plus en plus étrange. Et cette pupille qui se dilatait aussi vite qu’elle se rétractait…

    Reprends-toi, ma fille, c’est la fatigue.

    « Vous comptez rester comme ça ? Si vous vous poussez, je pourrais au moins jeter un coup d’œil. »

    Madison sentit le rouge lui monter aux joues.

    « Ah. Heu, oui, désolée. Je… Je…

    — Ce n’est rien, je fais toujours cet effet-là.

    — Pardon ?

    — Regard scotché, bave aux coins de la bouche. »

    Cette fois, elle allait mourir pour de bon. Mourir de honte ! Madison essuya ses lèvres avec le revers de sa manche. L’homme se mit à rire franchement.

    « C’était une blague, voyons ! Quoique ça ne me dérangerait pas en réalité.

    — Très drôle ! »

    Vexée, elle se leva enfin et s’installa sur le siège passager.

    Le beau brun se pencha sur elle, si près qu’elle sentit son souffle sur le visage et l’odeur de son eau de toilette. Troublée, Madison déglutit et recula jusqu’à ce que son dos touche la portière.

    Il la fixa longuement, d’un air amusé, et lui tendit une main chaleureuse.

    « Christophe. Mais les amis m’appellent Chris.

    — Madison », répondit-elle en attrapant la main offerte.

    Ce contact lui provoqua des frissons qui se propagèrent des doigts jusqu’à l’entrejambe. Décidément, cet inconnu la mettait dans tous ses états. Son désir devait transparaître, car il resserra sa prise et, de nouveau, la honte la submergea.

     

     

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  • Tranche de vie est un texte que j'ai écrit l'année dernière, pour le concours "48 heures pour écrire" organisé par les éditions édilivre et dont le thème était le courage.

    Bonne lecture et surtout, n'hésitez pas à donner votre avis.

     

    Tranche de vie, écrit par Piko Lynna

     

    « Quel courage ! » Voilà une phrase que j’ai entendue bien souvent ces vingt-cinq dernières années. Pourtant, je n’ai pas l’impression que ce qualificatif me corresponde. Au fond, qu’est-ce que le courage ? Suis-je réellement courageuse, comme certains semblent le penser ? Si je l’ai été, c’est surtout par manque de choix, en réalité. Je me suis accrochée tant bien que mal. J’ai continué à avancer. J’ai fait que ce qui devait être fait, ni plus ni moins. La colère, la peur, la tristesse, l’incompréhension sont des sentiments qui m’ont accompagnée tout au long de ces années, mais le courage ? Je n’en ai pas la moindre idée !

     

    12 octobre 1988

    Me voilà en route pour le bloc opératoire. Je ne suis pas effrayée, maman l’est assez pour deux. Elle plaisante, fait bonne figure, mais ses yeux ne trompent personne. Peut-être devrais-je avoir peur après tout. Mais je n’ai pas le temps de me poser ce genre de question. Allongée sur un brancard, on me fait traverser un tas de couloirs, prendre un ascenseur, emprunter d’autres couloirs. La course s’arrête devant une double porte. Maman me dit « à tout à l’heure, on sera là avec papa ». Sa voix tremble un peu, ses yeux sont rougis et je ne comprends pas. Pourquoi n’est-elle pas heureuse ? Cette opération, c’est ma guérison !

    Cela fait des mois que je suis malade, enfin malade, ce n’est pas le bon mot. Disons que j’ai un problème, mon dos, apparemment. J’ai commencé à perdre l’équilibre, puis à marcher de plus en plus difficilement. J’ai passé des tas d’examens : radios, scanners, ponctions lombaires, IRM… Je ne m’en rappelle plus la liste, tellement il y en a eu. Mais les médecins ont fini par trouver ! Ils ne m’ont pas vraiment expliqué ce que j’ai ; tout ce que j’ai compris, c’est qu’ils vont m’opérer et que d’ici peu je pourrai enfin retourner à l’école.

    Les doubles portes s’ouvrent, on me fait pénétrer dans le bloc. Je regarde autour de moi. Je suis à la fois impressionnée et fascinée par ce que je vois. Une dame, dont le bas du visage est recouvert par un masque, s’approche et me rassure avec des paroles apaisantes.

    — Tout va bien se passer, me dit-elle tout en me plantant une perfusion dans le bras. Voilà, c’est presque fini. Tu es une fille bien courageuse. Maintenant, tu vas t’endormir. Laisse-toi aller, ne lutte pas.

    Sa voix devient lointaine, mes paupières se ferment.

     

    Je n’ai pas mal. C’est la première chose que je remarque à mon réveil, malgré mon esprit embrouillé. N’est-on pas censé souffrir après une opération ? C’est ce que je croyais en tout cas. Je me concentre sur mon corps et perçois une sensation étrange dans les membres inférieurs qui sont engourdis. Je veux changer de position. Impossible. Un de mes bras est posé le long de ma jambe, doucement je tâte le muscle et fronce les sourcils. Je sens ma cuisse sous ma main, mais pas ma main sur ma cuisse. J’ouvre les yeux et découvre maman près du lit. Sa présence me rassure immédiatement.

     — Maman, tu peux baisser mes jambes, s’il te plaît.

     — Qu... quoi ? demande telle en me regardant de façon étrange.

     — J’ai des fourmis, faut les descendre.

     Le visage de ma mère devient blême. Mais que se passe-t-il ? C’est à ne rien y comprendre !

     — Mes jambes, je répète d’une voix suppliante.

     — Mais je ne peux pas les baisser, elles sont déjà couchées.

    Me prend-elle pour une idiote ? C’est mon corps tout même !

    Se sont-ils trompés ? Oh mon Dieu ! M’ont-ils opéré des jambes au lieu du dos ? Comment est-ce possible ? Est-ce pour cela que maman ment ? Craint-elle d’avouer la vérité ?

    J’ai peur pour la première fois depuis des mois. Vraiment très peur. Tellement peur que des tas d’idées horribles me viennent à l’esprit. Je panique et me mets à hurler.

    — Pourquoi mes jambes sont-elles en l’air ? Qu’est-ce qu’ils m’ont fait ? Dis-leur de les baisser, maman ! S’il te plaît, dis-leur !

    Dans l’affolement je ne vois pas l’infirmière qui arrive et m’injecte quelque chose. Avant de m’endormir, j’ai le temps de croiser le regard rempli de larmes de ma mère et cela me fait un choc. Je n’avais jamais vu maman pleurer, c’est la personne la plus forte que je connaisse alors si elle est dans cet état, c’est que les choses sont encore plus graves que je le pensais.

    Mes soupçons se confirment dès mon réveil. Cette fois, plus aucune sensation de jambe en l’air ou d’engourdissement. Plus aucune sensation du tout, comme si le bas de mon corps avait disparu.

    Je me mure dans le silence. « Ils ont menti, ils m’ont tous menti ». Cette phrase tourne en boucle dans ma tête et la colère remplace la peur.

    Quelques jours plus tard, je quitte le service de réanimation pour aller en neurologie. J’ai une chambre pour moi toute seule, enfin pour maman et moi plutôt, car elle reste en permanence et dort sur un petit lit d’appoint. D’un côté je culpabilise par ce que papa se retrouve seul à la maison avec mes frères et ma sœur, mais d’un autre je suis drôlement contente de l’avoir près de moi, même si je lui en veux toujours.

    Petit à petit, une routine s’installe. Après le petit déjeuner, les dames du ménage viennent changer les draps et nettoyer la chambre. Ensuite, c’est le moment des soins, de la kiné, puis de la visite des médecins. Ils parlent de moi comme si je n’étais pas là et ça m’énerve. Cependant, j’en apprends un peu plus sur mon état et surtout sur ma maladie. « Tumeur », la première fois que j’ai entendu ce mot, cela m’a glacé le sang. Je connais ce terme et je sais qu’on en meurt. Est-ce ce qui m’attend ? Lorsque je pose la question, on me rassure en me disant que la tumeur a été enlevée. Peu après on m’annonce que je dois à nouveau me faire opérer.

    — Tu n’as rien à craindre. Cette fois, c’est une intervention toute simple, on ne touchera plus la moelle épinière.

    Dois-je les croire ? J’aimerais tellement ! Pourtant...

     

    16 novembre 1988

    — Je vais mourir, dis-je à la dame qui me prépare sur la table d’opération. Je sais que je vais mourir, mais ce n’est pas grave. Maman sera contente de pouvoir rentrer à la maison.

    Bizarrement, je me sens sereine en déclarant cela. Je sais qu’ils ont encore menti, je l’ai compris en voyant papa ce matin à l’hôpital. Mon père déteste les hôpitaux alors s’il est venu, c’est qu’il y a une raison. Et surtout il a dit oui pour que je puisse avoir un chiot et ça, ce n’est pas normal. Je vais mourir, ils le savent et ne veulent pas me l’avouer. L’anesthésie commence à faire effet, mais je continue à parler.

    — Vous leur direz que je les aime, d’accord ? Vous pensez qu’ils vont pleurer ? Moi non. Je crois qu’ils seront soulagés...

    Finalement, je ne suis pas morte. C’est encore pire !

    Ma tête est appuyée sur quelque chose de dur et me fait atrocement souffrir, un corset j’apprendrai plus tard. Je ne peux pas parler parce qu’un tuyau obstrue ma bouche. Il est relié à une machine qui respire à ma place. J’ai vraiment du mal à reprendre mes esprits, tout est si confus. Je tente de lever la main pour toucher ma tête, mais impossible.

    Horreur, panique, tristesse, colère !

    Les sentiments se bousculent, se percutent les uns contre les autres et me laissent en état de choc.

    Une fois de plus maman est là, elle me parle, mais je ne veux pas entendre ses mensonges. Je veux qu’on me fiche la paix. Je veux mourir !

    Il n’y a pas besoin de mot ni d’explication, à l’instant où j’ai perçu les fourmillements dans ma main gauche, la vérité s’est faite.

    Je ferme les yeux, je refuse de la voir. Une larme coule le long de ma joue, puis une seconde. Ce seront les premières, mais aussi les dernières, j’en fais la promesse.

    La machine se met à sonner. Je me sens partir, je suis bien. Avec un peu de chance, je ne me réveillerai plus jamais.

     

    12 Décembre 1988

    Les ambulanciers ne vont pas tarder, aujourd’hui je quitte l’hôpital. Je pars dans un centre de rééducation. Le neurologue m’a dit que c’était pour m’habituer à mon état. D’ici quelques mois, je pourrai rentrer à la maison. Il ne croit pas en ma guérison. Personne n’y croit. Mais je m’en fous, par ce que moi j’y crois pour tous, et quoi qu’ils disent, je sais que ce ne sont que des mensonges.

    Ils sont persuadés que je ne marcherai plus jamais, que mes mains resteront également paralysées, mais je prends le pari et leur prouverai qu’ils ont tort.

    Il ne peut pas en être autrement, il ne doit pas en être autrement !

    Une fois au centre, maman repart avec ma grand-mère et me promet de venir me voir très bientôt. J’éprouve un vide indescriptible. J’ai douze ans, je suis seule pour la première fois de ma vie et j’ai tellement peur. J’aimerais pouvoir dire tout ce que je ressens, mais je m’en garde bien, car je n’ai confiance en personne. Je suis seule avec moi-même, seule avec ma maladie, seule avec mes craintes, mes douleurs et ma colère.

    Les mois passent et je n’ai qu’une idée en tête : gagner ! Ce n’est pas l’espoir qui me guide, mais la rage ! J’en veux à la terre entière et ils ne s’en doutent même pas. Je suis devenue une pro dans l’art de cacher mes sentiments. J’aimerais pouvoir ne plus être en colère, mais je ne peux pas me le permettre, car je sais que le jour où elle cessera alors les progrès s’interrompront eux aussi.

    Je n’accepte aucune aide, aucune compassion. Je veux y arriver par moi-même et rien ne peut m’arrêter. Je fais plusieurs heures de kiné et d’ergothérapie par jour. Mon corps retrouve des sensations, je n’en parle pas aux médecins, c’est ma victoire, pas la leur.

    Petit à petit, mes muscles reviennent à la vie. Un doigt qui bouge, puis deux. Une main, un bras. Je mange seule. Je deviens indépendante.

     

    Juin 1991

    Lors de sa dernière visite, le chirurgien m’a appelée « sa petite miraculée ». J’ai vu de la fierté dans son regard et je dois dire que cela m’a fait une drôle d’impression. Alors je lui ai souri en lui disant :

    — J’ai gagné mon pari.

    Ensuite, sous ses yeux ébahis, je me suis mise debout et j’ai souri à nouveau.

    Certes, le combat était loin d’être terminé, mais c’était déjà une première victoire.

    Est-ce cela le courage ? Je ne saurais le dire. Pour moi, c’est juste une tranche de vie.

    Une tranche de ma vie...

     

     

     


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  •  Vampires, Démons et Métamorophes :Une anthologie de romance paranormale

     

     

    Editions: Laska
    Collection : Romance paranormale
    Auteurs: Piko Lynna, Suzanne Roy, Vanessa Terral, Viviane Faure

    Où l'acheter: Amazon

    Présentation de l'éditeur :
    Cette anthologie regroupe 5 nouvelles de romance paranormale, dont 2 inédites

    Vacances à haut risque (Piko Lynna) - Madison étudie à Paris. À l’occasion de ces vacances, elle a tout prévu pour sa visite chez sa grand-mère... sauf de tomber en panne, la nuit, sur une petite route de campagne ! Résolue à attendre l’aube dans sa voiture, elle aperçoit alors des phares au loin. Elle sait qu’elle devrait se méfier, mais l’homme qui lui offre son aide se comporte avec un tel naturel qu’elle ne peut refuser.

    En enfer avec toi (Suzanne Roy) - Rachel aurait dû mourir. Pourtant elle s’est réveillée, et elle se sent en bien meilleure forme que durant ces derniers mois à l’hôpital. Ce lieu inconnu où elle se trouve, est-ce l’enfer ou le paradis ? Et l’homme qui l’y accueille, est-il son ange gardien ou un monstre ?

    Parce que je t'attendais (Suzanne Roy) - Jérémie est médecin et, quand il voit sa mère prendre des produits naturels inconnus, il s’empresse de confronter la coupable. Seulement, il ne s’attendait pas à ce qu’elle soit si jeune et jolie... ni à ce qu’il s’agisse de Myriam, la « fille de la sorcière ». À la mort de sa mère, Myrie est revenue vivre dans la petite ville où elle a grandi. Elle sait que son destin l’y attend, même si elle s’est résignée à ce que Jérémie Durant n’en fasse pas partie. C’est alors que ce dernier réapparaît...

    Par ton regard (Vanessa Terral) - Sandra est reporter free-lance. Son sujet actuel la conduit à voyager à la frontière de l’Inde et de la Birmanie, en compagnie de quelques écologistes. Cependant, l’un d’entre eux fait tache, autant par son physique — du genre à ne pas s’y frotter — que par sa vigilance : Joachim. Sandra le soupçonne d’être un agent secret. Lorsqu’une fusillade éclate, elle n’a plus de doute. Et, désormais, elle lui doit la vie...

    Tentative d'Incubation d'Antéchrist (Viviane Faure) - L’Enfer est en émoi. L’an 2000 approche, et l’Antéchrist n’a toujours pas été créé ! Une seule solution : envoyer d’urgence un démon incube sur Terre pour inséminer une humaine. Et c’est Azelmoth qui doit s’y coller. C’est bien sa veine ! Enfin, ce n’est pas comme s’il avait le choix...

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  •  

    Attachements (Pour adultes)

     

    Editions: Dominique Leroy
    Collection : e-ros
    Directrice de collection: Chocolatcannelle
    Illustrer par: Jahyra
    Auteurs: Gier, Piko, Claire de la Chatelys, François Chabert, Guy l'Attacheur

    Où l'acheter :
    Éditions Dominique Leroy
    Amazon

     

    Présentation :

    « Sensation d’impuissance à la fois dégradante et excitante.
    — Tu as bien fait de venir.
    J’aimais sa voix. Je cherchais son regard. J’étais à sa merci. C’était épouvantable. C’était humiliant. C’était délicieux.» (Chiche ! de François Chabert)
    Attacher par et avec amour : cinq auteurs délivrent leur vision du bondage au sein d'un couple.

    Attachements contient les textes suivants :

    - Une femme attachante de Gier place en filigrane, tandis que les cordes étreignent le narrateur, l'évocation d'un amour adolescent.
    - L'Emprise des sens de Piko conduit une jeune femme à la découverte d'un club où l'attend son maître.
    - Première de cordée de Claire de la Chatlys initie des jeux de liens où l'attachée prend plaisir à être exhibée par son compagnon.
    - Chiche ! de François Chabert relate le piège dans lequel tombe par fanfaronnade le narrateur.
    - En épilogue, Guy l'Attacheur transpose dans un cadre lyrique, aux confins de l'onirisme, une séance qu'il a menée.

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  • Lettres à un premier amant (pour adultes)

     

    Editions: Dominique Leroy.
    Collection : e-ros
    Directrice de collection: Chocolatcannelle
    Illustré par: Phanhoria
    Auteurs: Anne Bert, Ian Cecil, Dominique Lalouve, Isabelle Lorédan, Piko

    Où l'acheter :
    Éditions Dominique Leroy
    Amazon

    Présentation de l'éditeur: Premiers frissons amoureux et premiers frissons de désir : cinq auteurs narrent dans une lettre à un amant les émois d'une narratrice...ou d'un narrateur.Avec nostalgie, humour et effets de surprise, réminiscences d'un amour de jeunesse ou écrits couchés sur le papier après avoir vécu l'immédiateté d'une rencontre, ces missives, gorgées d'émotion, mettent à l'honneur l'écriture épistolaire dans sa déclinaison érotique.

    Lettres à un premier amant contient les textes suivants :
    - Mon si cher et si tendre amant de Dominique Lalouve
    - Mon cher amant d'Anne Bert
    - Cueillez dès aujourd'hui les chrysanthèmes de la vie de Ian Cecil
    - Pour A... d'Isabelle Lorédan
    - L'adieu de Piko.

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  • eXercices stylistiQues (Pour adultes)

     

    Éditions :  Dominique Leroy.

    Collection : e-ros:
    Illustré par: Solo
    Auteurs: Flo, Isabelle Lorédan, Piko, MLonsieur Noir et Roselys DesDunes

     

    Où l'acheter:

    Éditions Dominique Leroy

    Amazon

     

    Présentation de l'éditeur:
    Quand cinq plumes s’adonnent à un jeu littéraire où les consignes associent érotisme et contrainte de mots, ce sont des eXercices stylistiQues...

    eXercices stylistiQues contient les textes suivants :

    - Cours particuliers, Flo
    - Équation amoureuse, Isabelle Lorédan
    - Escalier pour l’inconnu de Monsieur Noir
    - Humeur coquine, Piko
    - Vive le foot !, Roselys DesDunes

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